lundi 11 juillet 2011

dimanche 6 avril 2008

STRING ET SPIRITUALITE


Chers Amis du string accort, du spirituel et des quatuors à cordes,

Dans son brillant et savant essai intitulé:" Les ficelles de Dieu, ou le partage duo-sphérique de l'univers", paru en 1969 aux éditions du 7ème Ciel, le grand Théologien Pierre-Paul de Saint Pître, évoquait déjà, indirectement et sans en avoir entièrement fait le tour, la question ontologique, abordée et interpellée sur un plan et d’un point de vue conceptuel, du string, dans ses rapports avec le spirituel ; Permettez-moi de vous en extraire une phrase, représentative de son propos et reflétant, il est vrai, une pensée de type con-sensuelle :" A l'arrêt, qu'on pense bête ou pas, l'esprit et la chair, et cela ne tient qu’à un fil, sont deux facettes séparées et métaphysiquement autonomes d'un moi unique, certes abrité sous le même toi, d'où émerge et s’érige, au sens érectionnel de ce terme, une pensée qui diverge; non pas tant par son nombre déca-trique que parce qu'elle dit verge alors que c'est à la raie qu'on pense".

Certes, Pascal, mais par principe selon son habitude, avait préalablement et anticipativement, sans le savoir, déjà présenti et induit cette thèse dans son essentiel ouvrage: " les pensées pétulantes ou l'art du jardinet mottu chez les nonettes de Port-royal" ; A dire vrai, nonobstant le point de vue janséniste amplement incrusté chez notre pauvre Blaise, qui pourtant était à l’aise dans ces questions, celui-ci confondait,( mais le con sous la ficelle se confond aisément !) en un surprenant quiproquo, messe et fesse, ce qui a eu pour fâcheuse conséquence de dénaturer la profondeur d’une pensée au profit, si l’on peut dire, d’un lamentable, irréductible, mollesque et fessu calembour toujours à la mode, de nos jours, lors des mariages, voire des enterrements.

Spinoza et Descartes, quant à eux, avec leur Kant à soi aussi, il convient de le reconnaître, avec fine subtilité et grande intuition, pressentent, malgré tous les soins corporels auxquels s'est astreinte la partie ainsi divisée, que le string, plutôt que d'accentuer un dualisme con-substantiel et sans fondement du corps et de l'esprit, ne fait à dire vrai, que con-forter et fuckaliser en un point géo inversé toute la substance du moi d'où émerge subséquemment et intrinsèquement les attributs du con-plément; le string exprime et traduit ainsi donc une quête, bien ficelée il est vrai, du con, la fameuse con-quête, que plus tard Heidegger et Sartre ont tenté, l'un et l'autre d'analyser, d’un point de vue phénoménologique, faut-il le préciser, sans pouvoir pour autant écarter l’effet se déployant dans son principe sexistentiel, là où l’existence précède les sens.

La métaphysique du néant, en son absurde démonstration ne nous éclairant donc pas plus, tournons nous, mais restons bien du côté "ficelle" du string, vers la psychanalyse, pour questionner ce bon vieux Sigmund en cette belle épineuse(sic !) question qui en sous-tend bien d'autres: Le string est-il de l'ordre du divin ou du divan, ou les deux, en une con-fusion d’un surmoi doux mais neanmoins vidé, comme Paris à cette époque? Est-ce lui qui cache l'anal canal sublimal ou sublime-t-il, en son in-con-scient, les pulsions refoulées d'une culotte, jadis et nostalgiquement molletonnée et susceptible d’anal lyse ?

Georges Bataille, l’amer auteur de « Ma mère », en quête perpétuelle et thanatique de la fille, la fille,celle du string justement, prit un plaisir mortiférojouissif à con-sidérer que la femme n’était qu’une marionnette dans les mains d’un démiurge qui en tirait les ficelles, et que, partant, le string, il n’en connaissait guerre le prix !, était à l’œil( voir son livre du même nom) ce que la lunette était à la cuvette ; dés lors, supputait-il, se les rincer avec les larmes des roses (cfr « Les larmes d’Eros ») se justifiait tant d’un point de vue mystique que spirituel; appréciation toute sadienne il est vrai mais qui écarte fondamentalement la paire de fesses, au nom du père, dans une relation incestueuse et quasi divine ; Sacré Georges, quel bout en train de nous mener ainsi en barquette !

Foucault, je parle bien de Michel, et ce sera mon dernier mot, Jean Pierre, dans sa magistrale et pétaradante somme : "les mots et les choses", tente bien de porter, non pas un string en cuir qui lui aurait été comme un gant, mais de porter sociologiquement le fait du string, comme l'on dit qu'il est le fait du prince, au pinacle de la révolution sexuelle sans toutefois écarter, le ténu fil qui le relie au mouvement psychosociologique de va et vient inéluctable et ondulatoirement accentué par l'effet de serre fesses.

C'est donc totalement désemparé que nous nous tournons, en fin de compte, mais il est bon, vers la théologie, fée au logis en cette circonstance, pour questionner et interpeller Dieu, quant à cette épineuse question, con-nexe de celle du sexe des dieux et des anges et appeler derechef les secours de la foi en cette affaire; la spiritualité , le spirituel, en son sens non pas unique mais en sa double acception nous pousse plutôt à considérer le string comme l'oeuvre de Dieu, même si c'est la main de l'homme qui le fit (et le vit, aussi, avant de le faire !), cet homme, cette femme aussi, ne soyons pas dupes, qui parfois l'écarte fébrilement ce ténu filet de pêché !, comme lui-même, humble et pauvre mortel, peut s'écarter de Dieu pour se retrouver face au néant du con nu mais pour plonger dans l'inconnu!

En son sens interdit, du point de vue des vertus théologales, cette humble et néanmoins troublante "ficelle" reflète cependant et assurément le lien ténu qui nous relie au divin, en toutes, ou presque, circonstances et occasions ; en son sens de plaisir, le string, tout comme la rosette de Lyon et le jésus, tout ficelé qu'il sont, n'en dévoilent pas moins toute leur délicate saveur lorsque que l'on écarte et ôte la ficelle!

Spirituel, n'est-il pas?


Et c'est ainsi Qu'Allah est grand, qu'à la Bastille on l'aime bien,
et comme le dirait Alphy d'Honfleur ni couronne,
allez hop, tout le monde à la campagne!
C'est ainsi qu'Alexandre vit, que La Montagne est belle
et qu'Alexandre Vialatte est son prophète;

Quand à Pierre Desproges et Frédéric Dard,
c'est pas pour cafter,
mais qu'est-ce qu'ils nous manquent!


samedi 5 avril 2008

Dieu me fait rire, ça ne date pas d'hier, et je n'en ai pas fini de rire, avec lui!

Ce blog , seul autorisé et agréé par la Compagnie Universelle des Dieux Réunis (C.U.D.R) a pour unique vocation et exclusive mission de retransmettre directement, in extenso et sans correction, des informations, avec les commentaires y afférents, des réactions et autres billets d'humeur transmis en direct à notre Centre d'Ecoute International des Dieux Réunis (C.E.I.D.R) par le Haut secrétariat du Grand Architecte de l'univers, sous ses différents pseudonymes et avatars.

Par facilité et dans un souci d'unité, nous l'appellerons

"DIEU"

mais que tous, hic et nunc, Juifs, Musulmans, Chrétiens, Boudhistes, hindouistes, Francs Maçons, et autres confrères et consoeurs, s'y retrouvent, se sentent concernés et inclus dans les destinataires de ces divins propos dont nous ne sommes que les agents de transmission nommés à cette fonction.(Journal Officiel de la CUDR daté du 25/12/2007- Art 1357/777).

Dieu me fait rire, ça ne date pas d'hier, et je n'en ai pas fini de rire, avec lui! un jour d'ailleurs, il m'aura tellement fait rire qu'il m'en fera mourir!
Aussi ai-je décidé, après nomination par le CUDR, de vous en faire profiter et de partager avec vous, tous ces rires divins, venus d'ailleurs, qu'ils fussent d'origine Christique, Yavhesque, Allahesque, Brahmanesque, Dào Taoistiques, shivesque, et je dois certainement en oublier; Que Dieu me pardonne!
Tel est la raison d'être de ce blog.
A titre de mise en bouche,si j'ose m'exprimer ainsi, je vous livre ci-après le premier billet divin reçu ce matin et intitulé:
" String et Spiritualité"
Bonne lecture et merci de vos commentaires qui seront directement et intégralement retransmis au Grand Secrétariat de la CDUR.
Gélastiquement et divinement vôtre